Toujours aussi kawaii. Le tome sort un peut de l'ordinaire, avec pas mal de partie en histoire courte et surtout une histoire avec parole où Miku-san s’interroge sur l'avenir de sa petite sœur qui semble bien partie pour suivre la même voie qu'elle.
Note : Le bonus de l'édition limitée de ce tome est pas terrible. J'ai vu mieux.
Plus je lis ce manga, plus j'adore sa progression. Je l'avais découvert au travers de l'anime que j'avais bien aimé. Mais ce dernier nous laisse sur une fin qui a un petit goût amer. Inari ne peut plus voir Uka-sama et reprend une vie normale sans tous ses soucis... Ce qui correspond aux 5 premiers tomes. Sauf que pas la suite, ça ne se passe vraiment comme ça. L'histoire d'amour d'Inari prend vraiment forme. Son lien avec Uka devient plus compliqué... Il faut dire que cette dernière étant clairement tombée amoureuse, ça la fout mal pour une kami. Puis encore pas mal de choses.
L'univers de la série est très plaisant. Pas mal de rebondissements. Dans l'ensemble, ça fait très shōjo sans ses gros défauts : le style trop épuré et trop centré sur les personnages uniquement. Le dessin est plus « classique » dans sa forme. Les personnages sont très bien dessinés, et surtout les décors, le cadre de Fushimi Inari, Kyōto, le monde des dieux sont très bien réalisé.
Une histoire bien, un dessin très travaillé plein de détails, un sanctuaire japonais magnifique. La série ne manque pas d'attrait pour me plaire. Finalement, il n'y a bien qu'une chose que je n'aime pas... c'est le titre qui est bien pourri.
Le style est parfois maladroit au niveau du dessin, mais c'est largement rattrapé par l'humour de la série. L’héroïne est toute mimi et le héros est la caricature de la montagne un peu écervelée qui ne fait pas son âge. À voir ce que ça va donner sur la longueur. Pour l'instant, certaines pages sont à mourir de rires.
Pas trop mal comme fin... sauf que je n'ai pas compris le secret de Hana évoqué par son frère dans ce dernier tome...